Maux de tête

1. Il est 11 heures du matin et vous êtes le sanitaire d’entreprise. Un femme de 42 ans vient à vous et se pleint de maux de tête intenses.

Qu’elles sont vos premières réflexions?

Il faut penser à poser d’autres questions pour essayer de trouver la cause des maux de tête.

Vous administrez un antalgique contre les maux de tête (p.e. Dafalgan) et vous la laissez reprendre son travaille.

Vous appelez la Hotline de JDMT et vous vous renseignez auprès de la procédure.

2. La patiente vous dit que ses maux de tête ont commencé doucement hier soir. Dans la nuit les douleurs étaient parties ainsi que ce matin quand elle est partie de chez soi. Mais depuis qu’elle est arrivée au burreau les maux de tête ont repri lentement et n’ont cessé d’augmenter dans la matinée.

Quelle est la bonne réponse?

Je peux exclure une cause d’engagement vital d’après ce que la patiente me raconte. Les 3 S et la première impression confirment mon soupçon.

Je pourrais lui demander si elle a pris des médicaments (ou drogues) ou si elle a assez bu (pas assez d’eau ou trop d’alcool). Je pourrais aussi lui demander si elle s’est pris un coup sur la tête ou pas.

Je ne suis pas tout à fait sûr de moi et je ne sais pas comment procéder. Alors j’appelle la Hotline de JDMT ou le 144.

3. La patiente vous informe qu’elle a souvent des maux de tête et qu’elle souffre de migraine depuis l’enfance. Elle est venue vous voir parce que parfois elle arrive à stopper les douleurs en prenant des antalgiques au début de ses atttaques de migraine. Malheureusement elle les a oublié à la maison ce matin en venant au boulot et vous demande donc si vous en aviez.

Quelle est la bonne réponse?

Vous informez la personne du fait que vous n’avez pas l’autorisation de donner des médicaments. Par contre vous lui proposez d’aller en chercher avec elle dans la pharmacie d’en face. Votre collègue devrait par ailleurs se représenter plus tard pour vous faire savoir si les douleurs ont baissé ou pas.

Vous appelez la Hotline de JDMT ou le 144 pour être sûr de ne pas agir de la mauvaise manière ou pour ne rien rater.

Vous informez la personne que vous n’avez pas le droit d’administrer des médicaments. Vous indiquez à votre collègue qu’il se trouve une pharmacie en face de la boîte. Vous la laissez partir avec la demande de se représenter dans une heure pour vous dire si les douleurs ont baissé ou pas.